TrumpismeS : le pire est ailleurs




Donald Trump vient de remporter les élections présidentielles aux États-Unis. La nouvelle, qui n'a échappé à personne, a donné lieu à une hystérie collective rarement égalée. Même l'admirable Alain Finkielkraut s'est autorisé un véritable lynchage public et en direct sur RCJ (l'Esprit de l'escalier, 13 novembre) : Les citoyens américains, a-t-il dit, ont choisi un « porte parole pulsionnel, brutal et ostentatoirement inculte, impulsif, imprévisible (…) les journalistes ne pouvaient pas imaginer l'accession au pouvoir d'un ''gros c… pareil.»


Attention : le danger imminent du trumpisme est de céder à la caricature et à la vulgarité … lesquelles tiendraient lieu d'analyse politique.

Trump serait le pire choix que les Américains pouvaient faire ? La tentation du pire n'est pas celle que l'on croit.


A lire sur